Le Conseil mondial de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), réuni jeudi à Paris en session extraordinaire a jugé que l’écurie McLaren-Mercedes ne mérite pas d’être sanctionnée, dans l’affaire d’espionnage à l’encontre de Ferrari.
Le Conseil mondial a estimé que McLaren-Mercedes n’avait pas profité des informations confidentielles en possession de son employé, le chef de projet Mike Coughlan, sur la monoplace Ferrari F2007.
"La punition est en rapport avec le crime", a commenté le patron de McLaren-Mercedes, Ron Dennis, visiblement soulagé.