La Confédération africaine de handball aura à choisir, aujourd’hui, au plus tard, demain, entre deux candidatures seulement, l’Algérie et l’Égypte. Cette dernière, après son refus dans un premier temps pour soi-disant difficultés financières, a fait marche arrière et dépose officiellement sa candidature au niveau de la Confédération africaine de handball qu’elle supplie par la suite de lui confier, de nouveau, l’organisation de ce rendez-vous africain. L’Algérie, de son côté, a déposé sa candidature avant cette démarche de la Fédération égyptienne de handball que la famille de la petite balle n’arrive toujours pas à comprendre. Le choix est certainement très difficile. Sur quelle base cette instance africaine va-t-elle faire son choix ? Sur la pression que les Egyptiens tenteront d’exercer sur elle afin de la convaincre, ou sur les capacités de l’Algérie d’abriter cette compétition sur tous les plans ? Le président de la Fédération internationale de handball, Hassen Mustapha, selon le charger de communication de la fédération algérienne de handball, a précisé que «cette affaire n’engage que la confédération africaine de handball». La même source ajoute que ce responsable de la FIHB a confirmé qu’il «n’aura aucun mot à dire sur le choix du pays qui organisera cette 19e édition du championnat d’Afrique». Selon la même personne, «la confédération africaine est en train d’étudier les dossiers des deux pays en question. La décision sera prise aujourd’hui, au plus tard demain.»
Par : M. S.