Recommandé par la Royal Navy, James Cook fut choisi pour mener une mission scientifique avec des astronomes, des botanistes, des naturalistes, etc. L´expédition partit le 24 août 1768 du port de Plymouth en direction du détroit de Magella avec une centaine de personnes à bord du Endeavour. L’équipage arriva en Polynésie, plus précisément à Tahiti, sept mois plus tard, soit le 13 avril 1869, et y resta jusqu’au 13 juillet. Cook explora les îles plus à l’ouest qu’il nomma Society Islands (îles de la Société). Le 7 octobre 1769, il aborda la Nouvelle-Zélande et, par la suite, les côtes orientales de l’Australie en dressant des cartes de grande qualité. En juin 1770, son navire s’échoua sur la Grande Barrière de corail, ce qui mit fin à son expédition.
De retour en Angleterre en juillet 1771, Cook acquit aussitôt une grande réputation pour le succès de la mission.
1985 Les Verts montent au créneau
L’affaire du Rainbow Warrior est un scandale qui met en cause les services secrets français, en 1985. En juillet 1985, le Rainbow Warrior, bateau de l’organisation écologiste Greenpeace mouille à Auckland en Nouvelle-Zélande. Son but est d’emmener d’autres bateaux vers l’atoll de Mururoa pour protester contre les essais nucléaires français et les gêner dans la mesure du possible. L’opération se déroule le 10 juillet 1985. Le matériel est transféré de la camionnette des faux époux Turenge dans le canot pneumatique des trois nageurs de combats. À 23h50, le navire est coulé mais le photographe néerlandais, d’origine portugaise, Fernando Pereira, parti récupérer ses équipements photographiques après la première explosion, meurt dans la seconde. En outre, les faux époux Turenge sont facilement arrêtés par la police néo-zélandaise d’Auckland à cause de la camionnette qu’ils ont louée pour récupérer les plongeurs chargés de placer les explosifs. Le 12 juillet à 9h du matin, la police néo-zélandaise interpelle deux touristes suisses munis de faux papiers les «faux époux Turenge», qui sont en fait les deux agents de la DGSE, Alain Mafart et Dominique Prieur. Méfiant, le surintendant Alan Galbraith, chef de la Criminal Investigation Branch envoie 2 télex, l’un à Londres, l’autre à Berne. La réponse arrive le 14 juillet : ces passeports sont des faux. La presse néo-zélandaise commence à mettre en cause les services spéciaux français.
1994 Le vainqueur du 1.500 m
Morceli Noureddine est un athlète algérien, champion olympique sur 1. 500 m en 1996 et détenteur de plusieurs records du monde, du mile au 3.000 m. Il remporta son premier titre sur 1.500 m lors des Championnats du monde en salle en 1991, résultat qu’il confirma quelques mois plus tard lors des Championnats du monde en plein air, où il triompha également en 1993 et 1995. En 1996, il remporta la médaille d’or du 1.500 m aux Jeux Olympiques d’Atlanta, alors qu’il avait terminé seulement septième de la finale du 1.500 m des Jeux de 1992 dont il était le favori. Ce spécialiste des records du monde améliora deux fois celui du 1.500 m (jusqu’à 3 m 27s 37/100 en 1995) et du mile (3 m 44 s 39/100 en 1993), effaçant ainsi les performances réalisées respectivement par le Marocain Saïd Aouita et par le Britannique Steve Cram en 1985. Il battit également le record du monde du 2.000 m (4 m 47s 88/100 en 1995) et celui du 3.000 m (7 m 25 s 11/100 en 1994, il en fut dépossédé en 1996 par le Kenyan Daniel Komen en 7 m 20 s 67/100) et le record du monde en salle du 1 500 m (3 m 34 s 16/100 en 1991). Il resta invaincu sur le 1.500 m et le mile en 1993 et 1994.
2000 Le «Carnivore», espion des logiciels
Le FBI reconnait disposer d’un logiciel permettant d’intercepter le courrier électronique des criminels, le "Carnivore".
Ce logiciel fonctionne, selon les mêmes principes que les écoutes téléphoniques : il permet uniquement de surveiller des individus et ne peut être mis en oeuvre qu’avec une autorisation judiciaire.