Bourreau des coeurs, c’est à peu près la seul défaut qui caractérise Jean-Paul Belmondo. Un penchant tout à fait excusable qui a
peut-être séduit Barbara Gandofli. La dernière compagne en date du Magnifique, a de son côté une plus grande part d’ombre et la justice l’accuse d’être bien plus qu’une séductrice. La presse belge révèle en effet, que la jeune femme va être renvoyée devant le tribunal correctionnel de Bruges, pour détention d’armes prohibées. Cette affaire, Barbara Gandolfi y est mêlée depuis juin 2007. À l’époque, celle qui n’est pas encore la proche de Jean-Paul Bemondo, subit une perquisition à son domicile, dans le cadre d’une enquête sur un trafic de stupéfiants dans laquelle elle a été entendue mais pas poursuivie. On retrouve un coup de poing américain et un taser dans son appartement d’Ostende. Si la sulfureuse brune affirme que ces deux objets appartiennent à l’une de ses amies victime d’une agression, les enquêteurs n’en sont toujours pas persuadés. Me Marijin Van Nooten qui défend la compagne de Jean-Paul Belmondo a confirmé la décision prise par le parquet de Bruges d’entendre une nouvelle fois sa cliente. L’avocate estime qu’il s’agit d’un «acharnement» contre Barbara Gandofli. Elle s’insurge également contre le fait que «les parquets se mettent en Belgique à poursuivre toutes les femmes qui, pour se défendre en cas d’agression, possèdent un pepperspray dans leur sac à main». En marge de cette affaire, celle qui accompagnait cette année le héros de l’As des as sur les marches de Cannes, reste soupçonnée d’avoir employé du personnel de façon illégale. Elle a déjà été condamnée à verser la somme de 27 500 euros pour cela. Le passé et l’attitude de Barbara Gandolfi dérangent dans l’entourage de Jean-Paul Belmondo. L’acteur de 68 ans est, on le sait, diminué physiquement. Sa compagne pourra-t-elle compter sur lui.