Les étrangers ayant visité Boumerdès représentent une dizaine de nationalités, dont l’Espagne, la Suède, la France, l’Autriche, l’Italie, la Turquie, l’Arabie saoudite, le Liban et la Chine.
Durant la présente saison estivale, allant de juillet à la mi-septembre, les touristes étrangers ont passé plus de 3.000 nuitées à Boumerdès, a indiqué le directeur du tourisme de la wilaya. "Ce nombre de nuitées a été enregistré au niveau de 4 hôtels des villes de Boumerdès, Dellys et Zemmouri, réputées pour accueillir un grand nombre de touristes en saison estivale", a indiqué, à l’APS, Zoulim Nour, en marge de la cérémonie d’ouverture du salon du tourisme célébrant la Journée mondiale du tourisme.
Il a signalé que le recensement des nuitées enregistrées au niveau de 14 autres hôtels de la wilaya se poursuit toujours, sachant que ces derniers "ne sont pas très fréquentés par les étrangers". Selon le même responsable, les étrangers qui ont visité Boumerdès représentent une dizaine de nationalités, dont l’Espagne, la Suède, la France, l’Autriche, l’Italie, la Turquie, l’Arabie saoudite, le Liban et la Chine, a précisé M. Zoulim.
"Généralement, une grande majorité de ces touristes passe son temps sur les belles plages de Boumerdès ou dans des visites aux sites historiques de la région, notamment l’antique Casbah de Dellys", a encore fait savoir M. Zoulim. Abrité par la maison de la culture de Boumerdès, le salon du tourisme qui s’est étalé sur 3 jours a englobé de nombreuses expositions faisant la promotion d’opérateurs touristiques, de produits artisanaux et d’associations activant dans le domaine du tourisme et des voyages, aux côtés de stands sur les secteurs de l’hydraulique, l’environnement et la protection civile, entre autres.
La manifestation, qui a été organisée sous le thème "Le tourisme et l’eau : protection d’un avenir commun", a visé la "promotion du tourisme dans la région en offrant un espace d’échanges aux opérateurs du domaine et à des secteurs associés, tout en sensibilisant le public sur l’importance de ces secteurs sensibles", a souligné M. Zoulim.