Certains citoyens, manquant visiblement de civisme, ne se gênent nullement pour laisser les robinets ouverts après usage, ce qui entraine des pertes d’eau considérables au moment où toute la planète appelle à une utilisation rationnelle de ce précieux liquide.

L’eau, depuis la mise en service de la station de pompage du barrage de Béni Haroun coule à flots et les pénuries que vivaient les Miléviens, il y a quelques années,  ne sont plus qu’un mauvais souvenir car ce précieux liquide ne hante plus les sommeils du citoyen, il suffit d’ouvrir le robinet, à n’importe quel moment de la journée, pour le voir gicler, la  pression étant très forte. Cette situation a été à l’origine de la construction de fontaines publiques dans les places les plus fréquentées de la ville. Et si l’été dernier, elles (fontaines) ne fonctionnaient pas, cette saison, elles étanchent la soif des citoyens qui ne manquent pas de boire mais également  de se laver à satiété. Ce qu’il faut signaler, c’est que certains citoyens, manquant de civisme, ne se gênent nullement pour laisser les robinets ouverts après usage, ce qui entraine des pertes d’eau considérables au moment où toute la planète appelle à une utilisation rationnelle de ce précieux liquide qui comme l’a si bien expliqué Saint Exupéry «Eau, tu n’as ni couleur, ni odeur, tu n’es pas nécessaire à la vie, tu es la vie.» Le citoyen est appelé à prendre grand soin de cette eau et devrait, après avoir étanché sa soif, fermer le robinet, est-ce trop lui demander ?
Les services de l’APC devraient, pour éviter tout ce gaspillage, installer des robinets spéciaux qui se referment automatiquement pour stopper ce gaspillage.