Les nouvelles zones d’expansion urbaine, d’une surface cumulée de cinq cent dix hectares, sont localisées dans les régions balnéaires de Tighremt (Toudja) à l’ouest, Oued Zitouna (Aokas) à l’est et enfin la troisième en montagne.
La Direction du tourisme dans la wilaya de Béjaïa informe de la délimitation de trois nouvelles zones d’expansion touristique (ZET), portant à quatorze le nombre total des zones dédiées à l’activité et la promotion touristique.
Ces zones, apprend l’APS, d’une surface cumulée de cinq cent dix hectares, sont localisées dans les régions balnéaires de Tighremt (Toudja) à l’Ouest, Oued Zitouna (Aokas) à l’Est et la troisième en montagne, dans le massif d’Adekar, a-t-on précisé.
’’Toutes les trois ont été délimitées, déclarées et classées Zones d’expansion touristique’’,
a souligné M. Taâzibt, relevant que les terres qui y sont versées relèvent d’une triple nature juridique, mêlant à la fois le domaine de l’état, celui des communes et la propriété privée.
Leur mise en exploitation sera soumise à l’appréciation de l’Agence nationale du développement et de l’aménagement touristique.
Sur le lot des zones déjà existantes, seules d’eux d’entre-elles ont connu un début d’aménagement, en l’occurrence celle d’Aokas, siège d’un aménagement en cours et celle de Souk-El-Tenine, en voie d’achèvement.
Sinon, tout le reste est en attente d’une opération de réhabilitation, notamment la mise en place des VRD, nécessaires à l’attrait des promoteurs et l’injection de leurs investissements.
La zone de Souk-El-Tenine, attribuée initialement de gré à gré au groupe industriel ’’Cevital’’ pour l’implantation d’un mégaprojet et qui, par la suite, a dû être annulé pour des considérations en rapport avec les dispositions légales, inhérentes à ce type de marchés, est en revanche, en voie, de connaître une reprise en main par le promoteur, selon la même source.
La création de ces nouvelles zones et la perspective de la promotion de celles déjà existantes, dont la superficie est estimée à quelques mille deux cent cinquante-cinq (1.255) hectares, est de nature à débrider les velléités des promoteurs qui, faute de terrains, ont préféré atermoyer et différer leurs investissements.