25 plages sur les 29 existantes seront autorisées à la baignade et donc surveillées. Les plages interdites à la baignade sont soit polluées soit rocheuses, donc dangereuses.
A l’approche de la saison estivale, la Direction du tourisme a arrêté le nombre de plages autorisées à la baignade cette année. Ainsi, 25 plages sur les 29 existantes seront autorisées à la baignade et donc surveillées. Les plages interdites à la baignade sont soit polluées soit rocheuses, donc dangereuses. Bien entendu, cela n’empêche pas les citoyens en quête de fraîcheur, de sensations fortes ou simplement d’un peu d’intimité de fréquenter ces endroits non surveillés d’où le risque encouru aux baigneurs en cas de difficulté. Par ailleurs, la Direction du tourisme fait état d’octroi en concession de neuf plages aux jeunes chômeurs. Les plages concernées sont celles de Tighaza I et II, de Dechria I et II, d’ El Marsa, de Boucheghal, de Taghzoult I et II et, enfin, d’El-Guelta. Toutefois, les futurs investisseurs doivent répondre à un cahier de charges. Il s’agit, entre autres, de mettre à la disposition des estivants toutes les commodités indispensables et nécessaires pour permettre aux nombreux vacanciers de passer d’agréables moments, notamment en matière d’hygiène et de sécurité. Cependant, des contrôles inopinés des services du tourisme au niveau des plages est plus que souhaitable pour que l’image de plages pleines de détritus relevée l’année passée ou l’absence totale de toilettes ne se renouvelle pas cette année. A trois mois des grandes vacances, un travail titanesque est attendu pour rendre les plages chélifiennes plus accueillantes, car la beauté et le charme qu’offre la nature encore à l’état sauvage aux estivants sont des atouts importants dans le développement du tourisme de la région.
B. O.