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Google Chrome, le plus rapide des navigateurs Web
12 Août 2011

Selon une étude réalisée par la société Compuware, Google Chrome est le navigateur Web le plus rapide pour charger complètement une page web. Mais il est suivi de près par le Firefox de Mozilla. Google Chrome est le plus rapide des navigateurs web, juste devant Mozilla Firefox. Du moins, si l’on en croit les tests de performance réalisés par la société Compuware. En effet, celle-ci a décidé de comparer les navigateurs web en parcourant différents sites Internet et en relevant les mesures techniques correspondantes. Ainsi, le cabinet Gomez du groupe Compuware, en charge de l’étude, a réalisé près de 2 milliards de mesures sur près de 200 sites web durant un mois, révèle Generation NT. Les navigateurs se trouvant au banc d’essai étaient alors Google Chrome (versions 10, 11 et 12), Mozilla Firefox (version 3, 4 et 5), Apple Safari (version 4 et 5) et enfin Internet Explorer (version 7, 8 et 9). Pour chacun, ils ont mesuré deux paramètres, à savoir le temps de chargement complet d’une page et le temps de chargement perçu par l’utilisateur, c’est-à-dire en tenant compte de la "partie visible" de la page Web. Au final, Chrome supplante donc sans bavure ses concurrents en terme du temps de chargement complet. Il affiche une moyenne de 3,433 secondes contre près de 4 secondes pour Firefox. En revanche, le navigateur de Mozilla devance celui de Google du côté de l’affichage de la "partie visible" de la page, avec un très beau 2,18 secondes pour Firefox 5 contre 2,374 secondes pour Chrome 12. Quant à Safari et Internet Explorer, ils restent loin derrière avec des temps de chargement nettement supérieurs, selon les résultats révélés par TechCrunch qui en a eu la primeur. D’autres données seront publiées ultérieurement, précise Generation NT.

L’Afrique du Sud cache ses cornes de rhinocéros
L’Afrique du Sud va garder secrète la quantité de cornes de rhinocéros stockées par les autorités pour en éviter le pillage au moment où le braconnage connaît une forte expansion, a indiqué jeudi la ministre de l’Environnement. «Un inventaire des cornes de rhinocéros établi par les agences de protection de l’environnement a été achevé, mais pour des questions de sécurité, le département de l’Environnement ne peut pas le publier», a déclaré Edna Molewa. La quantité et le lieu de stockage des cornes des animaux décédés pour la plupart de mort naturelle dans la brousse ou confisquées aux braconniers arrêtés doivent être tenus secrets pour les protéger des vols et d’une revente au marché noir.

L’armée déployée dans le parc national Kruger
Le braconnage de rhinocéros en Afrique du Sud a atteint un seuil alarmant, avec plus de 200 bêtes tuées depuis janvier et 333 abattues en 2010. Une étude est en cours pour étudier si la légalisation du commerce contrôlé des cornes serait une bonne approche pour éviter le braconnage, a noté Edna Molewa. «Nous n’avons pas encore mis la légalisation en route», a-t-elle précisé lors d’une demande écrite au Parlement. «Nous étudions les mesures à prendre pour protéger nos rhinocéros des braconniers». Les cornes peuvent rapporter des dizaines ou des centaines de milliers de dollars, vendues sur le marché asiatique qui les utilise pour la médecine traditionnelle. En avril, l’armée à été déployée dans le célèbre parc national Kruger à la frontière avec le Mozambique pour protéger la plus grande population de rhinocéros.

Un reptile marin fossile de 78 millions d’années découvert avec son embryon
La découverte du fossile d’un reptile marin vieux de 78 millions d’années avec son embryon bien formé, un spécimen unique, révèle que ce plésiosaure mettait bas sa progéniture et ne pondait pas d’œufs, selon une étude parue jeudi 11 août dans la revue américaine Science. Ce plésiosaure adulte carnassier, un polycotylus latippinus, mesurait 4,7 m de long et était muni de quatre nageoires. Il vivait aux côtés des dinosaures durant l’ère du Mésozoïque (- 251 à - 65 millions d’années) et porte un embryon au corps développé avec des côtes, vingt vertèbres, des hanches et les os des nageoires. Pour Robin O’Keefe, un biologiste de l’université Marshall (Virginie occidentale) et Luis Chiappe, directeur du Musée du dinosaure au Musée d’histoire naturelle de Los Angeles, où ce ’double fossile’ est actuellement exposé, il s’agit de la première preuve que les plésiosaures mettaient bas plutôt que de pondre et faire éclore des œufs. Bien que cette façon de donner naissance ait été documentée chez plusieurs autres groupes de reptiles aquatiques du Mésozoïque, aucune indication jusqu’alors ne laissait penser que les plésiosaures mettaient également bas leurs petits.
Les plésiosaures n’ont aucun descendant vivant connu mais étaient très communs dans les océans de la planète à l’époque des dinosaures, disparus il y a soixante-cinq millions d’années.


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