Il est impossible de nier l’évolution fulgurante de l’Algérie ces dernières années. En effet, l’année 2025 a été marquée par une dynamique politique et économique, ainsi que par l’adoption d’une série de mesures sociales, consolidant le caractère social de l’État.
En effet, des réalisations et des avancées remarquables ont été enregistrées au cours de l’année 2025 dans différents secteurs, notamment sur le plan socio-économique.
Les grands acquis de « l’Algérie nouvelle» sont là ! Telles que la sécurité, la stabilité des institutions politiques, économiques et sociales, qui serviront sûrement à placer le pays parmi les puissances régionales et continentales.
Aujourd’hui, notre pays opère une mutation profonde en matière de développement économique en adoptant un modèle basé sur la diversification de la production hors-hydrocarbure. Ce qui était un slogan creux des années durant n’est plus une vue de l’esprit aujourd’hui.
L’Algérie présente toutes les conditions pour asseoir une véritable machine à produire. Les grands projets structurants comme dans les mines, l’agriculture et l’agroalimentaire, les industries de transformation, les énergies nouvelles…, sont en place. Il y a une véritable dynamique dans le pays avec des ambitions et des objectifs à atteindre.
L’Algérie d’aujourd’hui s’engage dans une phase dont le fondement repose sur une approche renouvelée face aux différents enjeux, animée par l’ambition de relever les défis avec une confiance totale en nos capacités et en nos ressources nationales, nourrie par les espoirs sincères du citoyen. L’Algérie a franchi des étapes successives sur cette voie, celle de l’Algérie victorieuse, fidèle à ses principes et consolidant ses fondements en œuvrant à l’ancrage d’une véritable citoyenneté. Avec la concrétisation des décisions prises par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, le front social s’est renforcé à la faveur d’acquis remarquables, traduisant une volonté politique affirmée de consolider le caractère social de l’État, tel que consacré par la Déclaration du 1er Novembre 1954.
Ainsi, il a été décidé de relever le SNMG de 20.000 DA à 24.000 DA dans une démarche qui apporte un soutien supplémentaire à la catégorie des travailleurs. En outre, et dans le cadre des efforts visant à renforcer les mécanismes de soutien social et à encourager les jeunes demandeurs d’emploi, le président de la République a également décidé d’augmenter l’allocation-chômage de 15.000 à 18.000 DA, ce qui contribue à préserver la dignité de cette catégorie durant la période de recherche d’emploi.
Les retraités continuent, eux aussi, de bénéficier d’un intérêt particulier de la part du président de la République, qui a ordonné des augmentations de 10 % au profit des retraités percevant des pensions inférieures ou égales à 20.000 DA et de 5 % pour ceux percevant plus de 20.000 DA. D’autres mesures sociales importantes ont été adoptées en 2025, dont la revalorisation conséquente de l’allocation touristique, à hauteur de 750 euros pour les adultes et 300 euros pour les mineurs.
À cela s’ajoutent l’augmentation de la bourse des étudiants et la prise en charge totale des malades atteints de cancer ne bénéficiant pas d’une couverture sociale. Outre les acquis sociaux, l’année 2025 a été également marquée par le lancement d’un nouveau programme de logement AADL 3.
Plus d’un million de souscripteurs sont ainsi inscrits à cette formule de logement, dont le gouvernement s’engage à assurer la concrétisation dans les délais. Dans le domaine économique, l’année 2025 a été charnière.
Le pays ne s’est pas contenté de consolider sa croissance, mais s’est affranchi de manière décisive de sa dépendance historique aux recettes des hydrocarbures. En effet, 2025 a été marquée par la relance de l’industrie nationale et la remise en production de plusieurs usines confisquées par l’État dans le cadre de la lutte contre les biens mal acquis. Autres secteurs, comme le tourisme, les services et l’économie de la connaissance, ont poursuivi leur croissance.
En termes clairs, 2025 n’a pas été seulement une année de croissance, mais surtout celle d’une profonde recomposition vers un modèle économique productif, diversifié et souverain. Ce dernier (le PIB) devrait poursuivre sa croissance pour les deux années à venir (2026 et 2027) pour atteindre 400 milliards de dollars, selon les prévisions du gouvernement.
Pour atteindre cet objectif, le gouvernement a accéléré ses démarches pour la mise en production des projets structurants dans les domaines miniers et industriels. Les préparatifs battent leur plein, avec le lancement effectif de nombreux projets, dont celui de Gara Djebilet en janvier 2026. L’autre fait marquant de 2025 est la mise en service de nouvelles stations de dessalement de l’eau de mer et d’autres le seront prochainement.