L’année 2025 s’achève sur une note d’accomplissements tangibles en Algérie, marquée par un renforcement des acquis sociaux au service de la dignité citoyenne et d’une amélioration du cadre de vie. Grâce aux décisions audacieuses du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, le pays a avancé dans la stabilité et le dialogue permanent, plaçant les préoccupations des citoyens au cœur de ses programmes de développement.
À maintes reprises, M. Tebboune a martelé que servir le citoyen reste « en tête des priorités » et que sa dignité constitue une « ligne rouge ». Cet engagement se traduit par des programmes de développement réalistes, visant à concrétiser l’ensemble de ses promesses envers le peuple algérien et à élever les conditions de vie globales.
L’efficacité étant le critère d’évaluation de la performance gouvernementale, le chef de l’État a procédé cette année à un remaniement ministériel décisif, nommant M. Sifi Ghrieb au poste de Premier ministre, qu’il a qualifié d’« homme de terrain ». Lors de l’audience où il l’a chargé de former un gouvernement, le président lui a délivré « toutes les instructions nécessaires » pour prioriser le service aux citoyens, promouvoir l’économie nationale au rang qui sied à l’Algérie – État pivot aux niveaux régional et international –, et consulter toutes les catégories et franges de la nation au service du pays.
Les membres du Gouvernement ont reçu pour ordre de relancer l’action exécutive avec efficacité et efficience, via un travail de terrain dans la gestion des affaires publiques. L’objectif : assurer une immunité globale dans tous les secteurs, gagner en crédibilité auprès de l’opinion publique, et apporter des solutions renforçant le front intérieur.
Fidèle à sa vision, le président de la République place invariablement le citoyen et ses préoccupations au centre des priorités de tous les programmes de développement, pour un progrès socioéconomique de qualité. Les décisions historiques récentes illustrent ce cap : l’augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG) de 20 000 DA à 24 000 DA, effective dès janvier 2026 – la plus importante jamais enregistrée dans le pays –, soutenant ainsi la plus large frange de travailleurs.
Parallèlement, l’allocation chômage est portée à 18 000 DA, en affirmation du caractère social de l’État, tout en consolidant la place des jeunes. Cette mesure les incite à s’intégrer au marché du travail et leur garantit un revenu minimum préservant leur dignité. Le Gouvernement a par ailleurs été instruit de soumettre des propositions pour la revalorisation des pensions et allocations de retraite.
Cette orientation s’incarne aussi dans les directives pour la loi de Finances 2026 : aucune augmentation ne doit alourdir le pouvoir d’achat du citoyen ; elle doit stimuler l’investissement et la concurrence, sans mesures sectorielles populistes ou spectaculaires, mais axées sur une valeur ajoutée et une faisabilité économique rigoureusement étudiée, avec des résultats assurés.
Sur le terrain, des acquis majeurs ont été conquis en un temps record, avec des ressources humaines et matérielles locales, dans plusieurs secteurs. L’Habitat en est l’exemple phare, devenant le principal indicateur socioéconomique du développement algérien, comme l’a souligné récemment le président à Constantine. Lors de la pose de la première pierre du premier projet de logements du programme AADL 3 – officiellement lancé en début d’année –, il a réaffirmé cette dynamique.
Pour répondre aux exigences du développement local et ouvrir de larges perspectives, M. Tebboune a décidé en novembre la promotion de 11 circonscriptions administratives des Hauts Plateaux et du Sud en wilayas à part entière, après un mouvement partiel au sein du corps des walis et walis délégués.
En cohérence avec les traditions de dialogue qu’il a instaurées, le président a poursuivi en 2025 ses rencontres avec les responsables de partis politiques au palais présidentiel, ainsi que ses entretiens avec les représentants des médias nationaux. Il a présidé la rencontre Gouvernement-walis, la rencontre nationale avec les opérateurs économiques, et échangé avec de nombreuses personnalités nationales éminentes, renforçant les mécanismes de concertation.
Fort de ces indicateurs politiques et socioéconomiques positifs, l’Algérie aborde 2026 avec un « nouveau départ qui la conduira à bon port », comme l’a affirmé le chef de l’État. Cette année pivotal sera marquée par l’exploitation de mégaprojets structurants dans les mines, les énergies renouvelables, l’agriculture et l’industrie. Le pays s’engagera dans une modernisation complète, en investissant dans sa jeunesse – sa véritable richesse –, qui excelle déjà dans l’innovation et l’entrepreneuriat au niveau continental et international. Un horizon prometteur pour une nation unie et résiliente.