Un massacre dans une zone humanitaire à Khan Younès est commis par l’armée d’occupation sioniste dans la bande palestinienne de Ghaza.
Cette ville de Palestine est victime d’agression génocidaire depuis plus de 11 mois. Au moins 40 personnes sont tombées en martyres et 60 autres ont été blessées, dans la nuit de lundi à mardi derniers, lors d’un bombardement contre de la zone humanitaire d’Al Mawassi à Khan Younès, selon l’agence de presse palestinienne Wafa. Un avion de l’armée de l’occupation a bombardé la zone humanitaire faisant 40 martyrs et 60 blessés, rapporte l’agence mardi citant un porte-parole de la Défense civile à Ghaza. Des missiles interdits au niveau international utilisés L’occupant sioniste a utilisé des missiles interdits au niveau international lors de sa frappe ayant visé des tentes de personnes déplacées à Al Mawassi, affirme un porteparole du ministère palestinien de la Santé. « Des missiles interdits au niveau international ont été utilisés lors du bombardement des tentes de déplacés dans la zone d’Al Mawassi », écrit Khalil al Dakran sur X. « Les blessures sont graves et il n’y a pas de place dans les hôpitaux pour recevoir les blessés », déplore-t-il sur la même plateforme. Abu Rudeina condamne le massacre Le porte-parole de la présidence de l’État de la Palestine, Nabil Abu Rudeina, critique les massacres quotidiens commis contre le peuple palestinien et le soutien américain à l’entité sioniste dans son agression, ce qui aggrave les tensions dans la région. Abu Rudeina, cité par Wafa, indique que le massacre sanglant perpétré par l’occupation contre les civils déplacés dans la région de Mawassi ainsi que l’invasion continue des villes, des camps et des villages de la Cisjordanie occupée et la destruction des infrastructures palestiniennes, sont de la responsabilité debl’administration américaine avant l’occupation sioniste. Les États-Unis appelés à retirer leur soutien aveugle à l’occupation « Sans ce soutien politique, militaire et financier sans précédent des États-Unis», ajoute-t-il », « les dirigeants de l’occupation n’auraient pas osé commettre de tels crimes », en violation de toutes les décisions de la légitimité internationale et du droit international.