"Il est clair que dans un environnement dynamique, qui n’avance pas recule. Et le Maghreb n’avance manifestement pas à la vitesse nécessaire pour rattraper le temps perdu et s’ouvrir de nouveaux horizons en termes d’intégration économique.
La construction maghrébine et sa protection contre des accidents de parcours commandent qu’elle soit solidement articulée autour d’une communauté de valeurs et d’une communauté d’intérêts.
Sous cet éclairage, il est aisé de comprendre que les relations algéro-marocaines ne sont pas réductibles à la seule question de la fermeture de la frontière terrestre."