« Ma politique se veut un prolongement de ce qui a déjà été accompli dans le secteur et verra l’introduction des réformes nécessaires pour réaliser les objectifs tracés par l’État. Ma mission principale consistera à combattre le déficit en matière de logement et l’anarchie urbanistique, d’autant que la demande s’élève à 225.000 logements par an, alors que la capacité nationale de réalisation est de 75.000 (...). Mon nouveau poste est une lourde responsabilité (...). Je tiens à rassurer quand à la disponibilité des moyens matériels pour résoudre ce problème qui constitue la deuxième préoccupation du citoyen après l’emploi. »