Comment optimiser nos capacités cérébrales dans le contexte de la médecine antiâge c’est l’idée qui ressort de l’intervention du Dr Le Beau, spécialisé en médecine morphologique, qui pratique à la fois les injections en toxine botulique et la micro-nutrition. La médecine morphologique et antiâge qu’exerce le Dr Le Beau consiste en des techniques de comblements des rides et du laser pour atténuer les déformations cutanées. Pour la médecine antiâge, il ne s’agit pas seulement de réduire les rides, mais aussi d’apporter aussi des solutions au vieillissement cérébral. Si l’on remet nos neuromédiateurs qui ont tendance à fluctuer dans un niveau initial, on aura optimisé nos capacités cérébrales.
Vieillir bien ? Si nous avons des neuromédiateurs dans un niveau bas, ça va engendrer des dysfonctionnements au niveau de la mémorisation, de notre caractère et de la cognition, un esprit aiguisé dans ce cas-là est quand même mieux qu’un esprit qui marche au ralenti. On essaye de régler ces niveaux par le biais de l’alimentation et de compliments alimentaires, propose-t-il. Une personne qui est bien dans sa tête, entraînera un bénéfice sur le reste du corps, explique le Dr. Le Beau. Garder un esprit vif, au-delà du caractère physique de la médecine antiâge c’est ce que veut transmettre le Dr à travers une bonne hygiène de vie et une bonne alimentation car tout part de là et avec des suppléments en cas de nécessité qui retarde le vieillissement cérébral. Garder la vitesse du flux nerveux et des interactivités qui se dégrade selon l’âge, l’alimentation et le mode de vie. Le vieillissement cérébral engendre le vieillissement du corps, on n’a pas des organes à part car tous fonctionnent en interconnexion (immunité, organes, gênes,…). Il intervient également dans le recalement du taux hormonal qui a tendance à baisser à partir de 20-25ans pour justement avoir une discordance, une tête qui fonctionne bien et un corps qui suit et pour se faire, notre intervenant recommande une série de compléments alimentaires, qui ne rentre aucunement dans le cadre de la médecine allopathique mais plutôt d’un point de vue nutritionnel. Les préconisations sont adaptées à chaque individu. Toutefois , une base commune existe : consommation régulière d’oméga 3 et oméga 6, alimentation riche en antioxydants et activité sportive continue.