Le gratte-ciel Beach and Howe est un projet conçu par un cabinet d’architectes danois, qui a la particularité d’être enroulé.
Le cabinet d’architectes danois BIG a eu une idée bien "tordue" avec cette tour nommée Beach and Howe. Toute de vitres scintillantes vêtue, elle a la particularité d’adopter une forme "essorée", comme le serait un vêtement. Le cabinet l’a imaginée pour la ville de Vancouver au Canada, en s’inspirant d’une autre consoeur américaine. "La Tour Beach and Howe est une descendante contemporaine de la Flatiron Building à New York", explique le P-DG de BIG, Bjarke Injels. Twistée dans les airs, Beach and Howe sera composée de 49 étages, pour atteindre la hauteur de 490 pieds soit 149 mètres.
Dans cette tour magique, 600 appartements seront construits au-dessus des neuf premiers étages qui accueilleront des bureaux, commerces et restaurants. Ce qui correspond à la vision de Bjarke Injels, c’est à dire "récupérer les pertes d’espaces de vie tout en échappant au bruit et au trafic de voitures au rez-de-chaussée". Ainsi Beach and Howe s’inscrit dans la tradition de Flatiron Building, qui selon Injels "évite l’excès formel (...) pour donner naissance à l’enfant de circonstances géographiques : un site divisé en trois, et les inquiétudes des tours environnantes et espaces verts".

Il vit dans une grotte sans argent
L’américain Daniel Shellabarger a tout quitté, même son nom. Il se fait dorénavant appeler Daniel Suelo ("le sol" en espagnol), habite dans une caverne et refuse de vivre grâce à l’argent ou toute forme de commerce. Le Daily Mail raconte l’histoire surprenante de cet homme qui vit dans les grottes situées dans les canyons de l’Utah. Il n’a pas de travail, pas de compte bancaire et n’accepte pas les subventions du gouvernement. En fait, Suelo n’a pas d’argent du tout. Il a également abandonné ses papiers d’identité, sa maison, son travail, son permis de conduire, en somme, toutes ces choses de sa vie passée.
Il survit en récoltant des aliments sauvages, en pêchant et en mangeant les animaux victimes du trafic routier. Il accepte et partage les provisions offertes par ses amis ou des randonneurs de passage, mais ne pratique aucune forme de commerce, y compris le troc. Suelo s’est débarrassé des pièges de la vie américaine moderne, mais il n’est pas un isolationniste pour autant. Depuis l’abandon de l’argent en 2000, il est demeuré un membre actif de sa collectivité et avide blogueur. Il préfère faire du commerce "avec l’Univers, Dieu, si vous préférez, à la manière des animaux sauvages". Comme l’explique le Daily Mail, Suelo est issu d’une famille très croyante qui l’a amené à considérer la religion très sérieusement et à conclure que "l’argent et les conflits qu’il crée ne sont ni justes, ni chrétiens".