«Les importations de chèvres à partir de la Suisse, les premières autorisées depuis la mesure d’interdiction, arriveront prochainement si les conditions climatiques ne sont pas trop rudes. L’interdiction des importations de caprins a été imposée pour des raisons strictement sanitaires, et a été levée pour ce qui concerne les importations à partir de la Suisse. Actuellement, les services vétérinaires sont en alerte pour maîtriser les importations en provenance d’Europe où le cheptel bovin souffre de pathologies, ce qui constitue une des raison pour laquelle les importations sont limitées. Par contre, les importations de taurillons sont autorisées avec 170.00 têtes au cours de l’année écoulée pour un total de 24.000 têtes entre bovins d’engraissement et bovins destinés directement à la boucherie.»