Contrairement aux années précédentes, l’Aïd el-adha s’est distingué, cette année, par l’absence de grillades en plein air, notamment dans la capitale. Ainsi l’odeur des grillades n’a pas «envahi» les rues de l’Algérois. L’absence des barbecues est, selon plusieurs citoyens, due à la cherté du prix du mouton. D’autres disent que c’est le temps pluvieux qui a empêché les jeunes de sortir leurs barbecues. Même s’ils n’ont pas acheté de moutons, ces jeunes avaient pris l’habitude de s’«approvisionner» auprès des boucheries. L’on se demande à cet effet si les «coutumes» de l’Aïd ont commencé à changer en Algérie ?