L’«expérience» de la politique algérienne de l’habitat, notamment celle de la formule AADL, sera bientôt «exportée» vers la capitale française. Il ne s’agira pas de faire part aux spécialistes parisiens des modalités d’attribution de ces logements ni du fonctionnement de l’Agence nationale d’amélioration et de développement du logement, mais d’autre chose. C’est le calvaire des souscripteurs de cette formule qui sera présenté dans une pièce théâtrale. La productrice de cet exposé, elle qui est, également, l’une des souscripteurs AADL 2001, envisage aussi glisser l’histoire des souscripteurs dans son prochain récit. C’est dire que la mésaventure de ces souscripteurs, qui date depuis déjà…11 ans, fera ainsi objet d’une autre forme de revendication outre les maints mouvements de protestation.