«Il y a une nécessité urgente de renforcer le front social par des mesures d’apaisement immédiates, car c’est ce front même qui est appelé à faire face, si besoin est, aux dangers externes (…) les mouvements de contestation sont certes un signe de bonne santé mais le gouvernement ne doit pas sous-estimer l’impact de ces mouvements dont les répercussions peuvent être néfastes sur la cohésion sociale.»