Cette année , il n’y a pas de service spécial pour le transport du public désireux se rendre au SILA. Pour l’édition précédente, l’ETUSA avait mis à la disposition du Salon des navettes vers le complexe Mohamed-Boudiaf et à partir de ce même complexe. Cette année, il semble que cela ne soit pas le cas, A qui la faute ? L’Etusa s’en défend et précise qu’elle n’a pas été sollicitée comme à l’accoutumée pour mettre en place un service de dessertes. Est-ce un oubli de la part des organisateurs ou alors un fait délibéré ? C’est un peu dommage pour ceux qui ne possèdent pas de véhicules. Ce sont surtpout les étudiants qui sont pénalisés, eux qui sont à l’affût de livres scientifiques. Quatre jours après l’ouverture, il n’y avait pas foule . Le SILA pourra-t-il égaler le record d’affluence de l’année dernière ? D’autant que la nouveauté cette année est l’espace lecture pour les petits.