Le débat sur le lien entre l’utilisation des téléphones portables et le risque de tumeurs cérébrales est de nouveau relancé. En effet, une étude cas-témoins, publiée dans le «Journal of the National Cancer Institute», montre que les utilisateurs réguliers n’ont pas plus de risque que les autres.
Cette étude a été menée sur les enfants et les adolescents, dont l’âge est de 7 à 19 ans, habitant au Danemark, en Norvège, en Suisse et en Suède. A cet effet, plus de 75% des patients et 72,1 % des témoins disent avoir téléphoné avec un mobile plus de 20 fois avant le diagnostic. En dépit de ce résultat favorable, les chercheurs appellent les consommateurs à la vigilance. Pour rappel, une agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment conclu que les téléphones cellulaires pouvaient être possiblement cancérigènes pour les humains.