«Il n’est plus question désormais de dissoudre les sociétés publiques, mais au contraire les pouvoirs publics pensent à en créer de nouvelles dans des secteurs où l’Algérie accuse un retard comme la sidérurgie et l’automobile. L’Etat poursuivra ses efforts pour les développer notamment par la création de nouvelles opportunités d’investissement. L’encouragement de l’investissement dans les entreprises publiques, dont 50% du potentiel sont inexploités, va contribuer à doubler la production nationale.»