«Cette volonté de m’insérer dans les consultations est un signe que l’Algérie veut accueillir tous ses enfants, quelles que soient leurs croyances et cultures, dans la mesure où ils œuvrent pour le bien commun du pays et de la région. Notre majorité est formée de chrétiens étrangers (en Algérie), mais nous avons aussi des chrétiens algériens. C’est une question d’engagement ensemble, entre chrétiens et musulmans, pour le bien commun de l’Algérie et de toute la région. Nous ne sommes pas prêts à retourner à l’ère des rivalités, car nous sommes à l’époque de la cohabitation qui requiert entraide et compréhension, comme l’a fait et le fait encore l’Algérie à chaque occasion.»