Près de 2,5 % de la population présentent une allergie aux animaux domestiques. Les chats sont les animaux les plus souvent en cause. Mais les coupables peuvent être nombreux : chiens, lapins, cochons d’Inde, rats, oiseaux, animaux de ferme et même nourriture pour poissons. Les enfants sont le plus souvent touchés. L’allergie n’est pas immédiate, mais peut apparaître plusieurs mois ou années après l’arrivée de l’animal dans le foyer. Quels sont les risques et comment les limiter ?
Les chats : premiers responsables
Vous aimez les chats mais en leur présence, vos yeux se mettent à pleurer et votre nez à couler… L’allergie vous empêche d’accueillir un félin dans votre maison… Quelques minutes après l’exposition, la personne peut être victime d’un écoulement nasal, des yeux rouges, de toux, d’un essoufflement, de crise d’asthme, d’urticaire voire parfois d’un oedème de Quincke. Mais sachez qu’il n’est pas nécessaire de toucher directement l’animal pour être victime des premiers symptômes. Le contact avec la substance allergisante peut se faire via des vêtements, des coussins, les lits, etc. Les allergies peuvent persister longtemps après le départ de l’animal.