Malgré que la duré des traitements des cartes grises ait remarquablement diminué dans la daïra de Bouzaréah, les résidants de cette circonscription administrative font face à un handicap d’une journée. Ainsi, les déposants de cartes jaunes ne peuvent circuler par leurs moyens de locomotion qu’après le retrait de cartes grises. Pour cause, aucun récépissé ne leur est donné par les agents de ladite administration. Même si les citoyens estiment que c’est un handicap, car ils ne peuvent même pas conduire jusqu’à leurs maisons de crainte qu’ils soient appréhendés par les services de sécurité, les agents des guichets, eux, pensent que ce n’est point un problème. « Si les policiers vous interpellent vous leur dites que vous avez déposé vos papiers à la daïra » lançaient-ils aux citoyens. C’est dire que si cette formule est vraiment efficace, les voleurs de véhicules, quant à eux, auront de quoi se justifier devant la sûreté !