A la première impression, Naftal ne semble avoir aucun lien commun avec les révolutions arabes. Toutefois, ces employés sont, à l’image des situations ayant prévalu lors chez jeunes révolutionnaires arabes, privés…de Facebook. Après la création d’un syndicat virtuel appelant à une grève lundi, l’accès au réseau social n’est plus possible au sein de l’entreprise. Apparemment Naftal a appris une leçon de la Tunisie et l’Egypte !