«Nous n’avons jamais pris de décisions au nom de l’état d’urgence qui réduisent, limitent ou portent atteinte aux libertés individuelles ou collectives (…) La levée de l’état d’urgence n’est pas actuellement à l’étude (...) Existe-t-il en Algérie, aujourd’hui, un prisonnier politique ? (…) Les journalistes écrivent ce qu’ils veulent et sans censure.»