Deux mouvements de grève en l’espace d’une semaine ont privé les lecteurs parisiens de leurs quotidiens d’information. un mouvement de grève lancé par les cadres du Syndicat général du livre et de la communication (SGLC-CGT) qui protestent contre les propositions négociées actuellement pour réorganiser la SPPS, filiale, jugée structurellement déficitaire, de Presstalis qui est à l’origine de plusieurs opérations ces derniers jours ayant privé les lecteurs parisiens de leurs magazines, et ce, depuis un mois.