Mille 152 différents délits ont été enregistrés, durant le mois courant, qui sont liés au trafic routier pour la wilaya d’Alger, selon la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN). Les agents de police ont relevé 7 837 amendes forfaitaires, du 01 au 20 octobre dont 4 272 à partir du 11. En effet, c’est le nombre le plus élevé de tous les délits de ce mois. Selon un ordre décroissant, la DGSN a enregistré 3 230 cas de retraits de permis, 1105 cas d’immobilisation, 504 délits routiers, 256 infractions de coordination dont le transport des personnes et de marchandises et le transport des personnes par taxis, 185 véhicules ont été mis en fourrière et 35 accidents de la route ont causé 5 morts et 33 blessés.. Des chiffres, pour la plupart, un peu moins que ceux du mois de septembre. Ceci dit, comme ce bilan ne concerne que les 20 jours du mois d’octobre, la probabilité d’atteindre les chiffres du mois passé est très forte. Il est à noter qu’en septembre, il y a eu 10401 affaires forfaitaires, 3569 retraits de permis, 1695 cas d’immobilisation, 1571 infractions routières liées à l’excès de vitesse (détectés par le radar), 664 délits routiers, 395 infractions de coordination dont le transport des personnes et de marchandises et le transport des personnes par taxis, 209 mis en fourrière. Mais aussi, 140 accidents de la route corporels qui ont causé 156 blessures et 6 morts. Un nombre assez important comparé à celui du mois d’octobre. La baisse des accidents de la route s’est faitnettement remarquée. Ajoutant, que pour le mois de septembre, 437 personnes ont été présentées devant la justice en plus de 118 affaires d’acquisition, de consommation et de trafic de drogue, 59 affaires pour portd’armes blanches, 5 affaires de résidence illicite à travers le territoire national et 198 autres affaires de divers délits. Concernant les activités de la police de l’urbanisation et de la protection de l’environnement, cette dernière a enregistré 471 infractions dans le domaine environnemental et 225 dans le domaine urbain. Selon ces bilans, la majorité des délits commis concerne le secteur du trafic routier. Ceci reflète la réalité du citoyen algérois vis-à-vis du non respect envers les règles du code la route. Une réalité qui démontre que le non respect de la loi , se propage de plus en plus chez les citoyens de la capitale.