Le long métrage « Les palmiers blessés » du cinéaste et réalisateur Abdellatif Ben Ammar a suscité, depuis son apparition en juin 2010, l’intérêt grandissant du public et des médias.
Le réalisateur, à travers ce film met en exergue l’importance de l’histoire dans le développement des populations. Ce film, fruit d’une co-production algéro tunisienne, raconte l’histoire d’une fille de chahid Chama interprété par la jeune actrice tunisienne Leila Ouaz qui part à la recherche de la vérité sur la mort de son père, décédé durant les évènements de 1961 de Bizerte et qui se heurte à la falsification qu’a connue l’histoire. Dans un cadre animé par une musique chargée d’émotion qui rapporte la souffrance de la jeune et courageuse Chama, qui et au fil des rencontres se retrouve soutenue par un couple algérien exilé en Tunisie Nourredine et Nabila dans sa quête... Ce long métrage porte un regard nouveau sur ce drame et l’état des conflits qui dominent l’actualité en utilisant la fiction qui appelle le spectateur à se remettre en question.