A l’instar des 59 communes de la wilaya de Sétif, la commune de Guedjal, située au croisement de la RN 75 conduisant à Batna et le chemin de wilaya 113, a entamé son programme de solidarité à l’occasion du mois de piété par la distribution du couffin du Ramadhan aux familles nécessiteuses au nombre de mille. Selon le président d’APC, l’opération de sensibilisation des citoyens et de préparation des dossiers des nécessiteux qui s’est clôturée par l’établissement des listes définitives a nécessité 200 millions de centimes en sus des 25 millions alloués par la wilaya pour la circonstance. Outre cela, la commune de Guedjal offre quotidiennement 100 repas chauds aux passagers et aux nécessiteux.
Dans le domaine purement culturel et scientifique, l’APC de Sétif organise des débats scientifiques animés par des universitaires au niveau de l’hôtel Hidhab. L’on note la présence du profeseur Benamara Abderrahmane de l’université d’Alger, le docteur Moulay Mohamed Saïd de Bab Ezzouar, ainsi que les docteurs Zaïr et Kharroubi de France. Parmi les thèmes retenus, l’on note, "Islam pour une civilisation à visage humain" et "La femme face à l’occidentalisation".
Les soirées artistiques ne sont pas du reste puisque le théâtre de Sétif accueillera un mois durant des soirées chaâbi animées par un plateau de charme constitué, entre autres, de Chercham, Tamache, Abdelhadi El Anka, Meskoud et Sid Ali Driss. Alors que du malouf a élu domicile dans la salle des expositions de l’APC en accueillant les maîtres du genre, Azzedine Bouchaala, Touati et Layachi Dib.

3 décès dans une collision
Les routes de la wilaya de Sétif n’en finissent pas d’enregistrer des victimes, notamment cet été avec la densité de la circulation routière due aux départs en vacances avec nombre de décès et de blessés. C’est la partie est de la wilaya, constituée par la daïra d’El-Eulma, qui a enregistré le plus d’accidents. C’est ainsi que le bilan des dernières 24 heures fait été de 3 morts et de 4 blessés graves. A l’origine des drames de la circulation routière le non respect du code la route, selon les responsables de la Protection civile et des rapports de la Gendarmerie nationale. En effet, l’on signale que la première cause de mortalité est la vitesse excessive.
Pour les deux premiers cas où trois décès ont été signalés, il s’agissait d’une collision avec un camion de gros tonnage, en raison du non respect de la limitation de vitesse, alors que le 3e cas survenu 12 heures après, il concerne la mort d’un conducteur âgé de 58 ans qui n’a pas su maîtriser son véhicule au milieu d’un virage, selon les rapports de la Gendarmerie nationale.