Des milliers d’universitaires issus des promotions des années précédentes sont déjà inscrits au niveau de l’ ANEM du chef-lieu de wilaya et attendent impatiemment leur tour pour prétendre à un recrutement dans le cadre DAIP, filet social, emploi de jeunes, Angem, Ansej , Cnac et autres puisque cette opération obéit à un ordre chronologique d’ancienneté.
Des milliers d’universitaires issus des promotions des années précédentes sont déjà inscrits au niveau de l’ ANEM du chef-lieu de wilaya et attendent impatiemment leur tour pour prétendre à un recrutement dans le cadre DAIP, filet social, emploi de jeunes, Angem, Ansej , Cnac et autres puisque cette opération obéit à un ordre chronologique d’ancienneté.
Actuellement, les services de l’ ANEM, Agence nationale de l’emploi, sont domiciliés dans des locaux vétustes, exigus et non fonctionnels, implantés dans l’ancienne caserne à Guelma. Tous les candidats à un emploi dans le secteur public ou privé, toutes formules confondues, devront au préalable s’inscrire auprès de cette institution relevant du ministère du Travail et de la Sécurité sociale. Cette démarche est loin d’être une sinécure car chaque jour, cet organisme public est assiégé par des centaines de chômeurs aux fins d’être recensés et d’obtenir le fameux sésame, un certain document de couleur bleue qui est exigé lors des éventuels recrutements par les employeurs.
Des milliers d’universitaires issus des promotions des années précédentes sont déjà inscrits au niveau de l’ ANEM du chef-lieu de wilaya et attendent impatiemment leur tour pour prétendre à un recrutement dans le cadre DAIP, filet social, emploi de jeunes, Angem, Ansej , Cnac et autres puisque cette opération obéit à un ordre chronologique d’ancienneté. Les nouveaux universitaires diplomés 2009-2010 sont actuellement confrontés à un véritable parcours du combattant car les inscriptions auprès de l’ANEM sont problématiques à cause de l’afflux des prétendants.
Les candidats des deux sexes devront se présenter à cinq heures du matin auprès de cette agence de l’emploi afin d’obtenir un ticket numéroté qui permettra la matérialisation de cette opération, passage obligé pour un éventuel recrutement. Cette exigence n’est pas du goût des jeunes universitaires, particulièrement de la gent féminine qui appréhende à juste titre des agressions physiques avant la levée du jour dans cet espace hostile et isolé.
Il reste à espérer que la réception du nouveau siège de l’ ANEM, un édifice R+3 en cours de réalisation au niveau de la cité champ de manœuvres, au centre-ville, apportera une solution idoine à toutes les parties concernées.
H. B.