A présent, ce sont les imprimés de change, délivrés par la banque d’Algérie des wilayas limitrophes car le siège de la wilaya de Guelma est en cours de réalisation depuis plusieurs années, qui font défaut au niveau des services de change des agences bancaires.
Décidément les candidats à une sortie du territoire national ne sont pas au bout de leur peine étant soumis, ces dernières semaines, à un véritable parcours du combattant. En effet, les agences bancaires du chef-lieu de wilaya sont submergées par des centaines d’usagers munis de leurs passeports en quête du droit de change institué par les pouvoirs publics et ce, à concurrence de 15 mille dinars par personne chaque année. Dernièrement, les responsables de ces institutions bancaires prétextaient un manque de liquidités en devises et soutenaient qu’il leur était matériellement impossible de satisfaire tout ce beau monde. A présent, ce sont les imprimés de change, délivrés par la banque d’Algérie des wilayas limitrophes car le siège de la wilaya de Guelma est en cours de réalisation depuis plusieurs années, qui font défaut au niveau des services de change des agences bancaires. Quand les devises font défaut , les imprimés spécifiques au change sont disponibles ! En revanche, lorsque les liquidités sont disponibles, ce sont les fameux imprimés qui manquent ! Cette situation perturbe la programmation des vacances à l’étranger, notamment en Tunisie pays de prédilection des Guelmis . D’aucuns font des prouesses pour concrétiser cette opération de change impérative car ce document est exigé par les services douaniers aux postes frontaliers. De toute évidence, durant la saison estivale, les sorties du territoire national sont massives et il appartient à chacun de s’organiser à l’avance pour échapper aux mauvaises surprises. Les responsables des agences bancaires sont tenus d’étoffer le service des changes pendant la haute saison et s’approvisionner en devises et imprimés pour faire face à la forte demande.