Nouvelles dispositions, nouvelles critiques et appréhensions. Entre le gouvernement et les opérateurs économiques nationaux, les relations sont une nouvelle fois entrées dans une zone de turbulence. En fait, c’est un cycle qui perdure depuis la promulgation de la loi de finances complémentaire 2009. Des critiques qui se sont estompées, certes, mais le patronat algérien représenté par le Forum des chefs d’entreprise (FCE) a vite fait de revenir à la charge en décochant des fléchettes et en critiquant à la fois la politique économique du gouvernement de manière générale et en particulier la nouvelle loi sur les importations en franchises et droits de douanes. Les membres du FCE se disent tout simplement «lésés» et lancent un cri d’alerte.
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