C’était au moment fort de la crise financière, marquée par le retour du nationalisme économique au sein même des modèles les plus libéraux dans le monde, que le gouvernement algérien a décidé de mettre le la dans sa politique de privatisation. Mieux encore, il adopte une nouvelle orientation faisant de la préférence nationale, dans la réalisation des projets inscrits dans ce quinquennat, une priorité.
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