Kader Meddour ne se limite pas seulement à «poétiser» dans sa langue maternelle. Non, il refuse l’enfermement linguistique. Il utilise le français, pour adapter son inspiration première pour aller vers l’autre et lui indiquer ses bivouacs, ses tendresses, ses colères et ses ...
l Après Tizi-Ouzou, c’est au tour de la wilaya de Borj Bou-Arréridj d’accueillir le cycle des portes ouvertes sur le quotidien Midi libre et le magazine El Djadel. Cette fois, c’est le centre culturel Aïcha- Haddad qui a suscité le centre d’intérêt des organisateurs ...