l Après Tizi-Ouzou, c’est au tour de la wilaya de Borj Bou-Arréridj d’accueillir le cycle des portes ouvertes sur le quotidien Midi libre et le magazine El Djadel.
Cette fois, c’est le centre culturel Aïcha- Haddad qui a suscité le centre d’intérêt des organisateurs de par sa proximité du centre-ville et sa grande structure répondant aisément à ce genre de manifestation.
Dès l’ouverture, des visiteurs venus de tous les horizons de la wilaya ont afflué, sans discontinuité, pour connaître les différentes facettes du programme.
Le stand réservé au Midi Libre et à El Djadel a suscité l’intérêt du public, puisque en plus de ceux qui découvrent pour la première fois ces deux supports, plusieurs personnes se sont posé la question de la non-disponibilité du journal dans la périphérie de la ville et les communes environnantes ainsi que la quasi-totalité absence d’El Djadel.
l Les parkings sauvages ont la peau dure et à cette allure, ce n’est pas demain la veille qu’ils seront règlementés. En effet, il n’y a pas un quartier de la ville où le dictat de ces soit-disant gardiens de voitures ne viennent vous imposer un prix à payer. Parfois, ce prix vous est exigé même si vous êtes à l’intérieur de votre véhicule.
Si vous êtes étranger au quartier ou vous êtes de passage, le prix va du simple au double et vous n’êtes pas sûr que votre voiture soit en sécurité.
Quant aux autorités, elles laissent faire pour le moment. Seulement, le phénomène commence à prendre des proportions alarmantes et les APC, en premier lieu, ont toute à gagner si elles décident de mettre les moyens nécessaires pour endiguer la situation.
l L’assiette dégagée pour abriter le nouveau marché de gros de Tizi-Ouzou n’a pas connu encore son début d’exécution. Tous les tapages médiatiques et autres rencontres que les responsables locaux ont organisés pour annoncer le lancement éminent des travaux n’étaient finalement que leurre et désillusion. La parcelle en question continue d’être un lieu où s’entassent détritus et autres objets hétéroclites, offrant un paysage désolant et menaçant. A croire que les partisans des promesses sans lendemains ont la peau dure et continuent de nous miroiter la mare aux alouettes, car quand la parole ne suit pas le geste, la méditation est de rigueur.
l En tout et pour tout, trois trémies ont été réalisées à Tizi-Ouzou, une manière de prouver que la ville des Genêts ne peut demeurer en reste des autres grandes wilayas du pays, qui, elles, ont besoins peut-être de ces réalisations.
Le but principal de ces trémies est de désengorger certaines principales artères où le flux quotidien des véhicules rend la circulation infernale. A Tizi-Ouzou par contre, non seulement elles n’ont pas apporté grand-chose aux encombrements du centre-ville, mais elles ont donné à la ville un aspect hideux et à chaque pluviométrie, les usagers pataugent dans la boue et dans les flaques d’eau qui sont parfois infranchissables.
Nouara Hadjloum