l Les maladies nosocomiales sont de plus en plus fréquentes dans nos hôpitaux et le manque d’hygiène et le stockage des déchets présentant des risques d’infection avant leur élimination en sont la cause. Contacté, le directeur du CHU de Tizi-Ouzou a affirmé que l’hygiène hospitalière, préalable indispensable aujourd’hui à la qualité des soins, continue à manifester des conséquences de plus en plus sérieuses à travers les infections nosocomiales. Ces infections respiratoires sont fréquentes et très graves en milieu hospitalier, en particulier dans les services de réanimation, puisqu’elles présentent la première cause de décès par infection nosocomiale. Les spécialistes ont conclu que malgré les développements enregistrés en matière de santé, les pratiques professionnelles n’ont pas évolué et l’organisation de soins reste à parfaire.
l En matière de distribution de carburant, la wilaya de Tizi-Ouzou dispose de 79 stations opérationnelles, dont 14 stations-services, relevant de l’entreprise Naftal, qui représentent 1.500 m3 tous produits confondus, soit 25% des capacités de distribution, et 50 points de vente agréés qui représentent 5.900 m3, soit 75% des capacités de distribution, et 9 stations-services revendeurs ordinaires qui représentent 500 m3, soit 8% des capacités, et 3 stations gestion libre qui représentent 50 m3. Ce qui fait dire à un responsable du secteur qu’il n’y a pas une daïra qui ne dispose pas à ce jour de station-service.
l En vue d’améliorer le cadre de vie de ses habitants, les autorités locales d’Azazga (Tizi-Ouzou) ont alloué une enveloppe financière importante pour le réaménagement de la cité 224 logements à Tizi Bouchène. Plusieurs travaux ont été lancés, entre autres, l’extension de ses principales artères, la réalisation des trottoirs et l’irrigation de quelques murs de soutènement afin de mettre fin aux éventuels glissements de terrain. La cité sera également dotée des différentes commodités dont des structures sportives et culturelles qui seront mises à la disposition de la frange juvénile.
l Le rond-point de Tizi-Ouzou fait triste mine depuis, déjà, quelques mois. Il a été fait, refait, remodelé et décoré à maintes reprises. En dernier lieu, comme pour lui donner une âme, ce rond-point a été reconstruit, puis bleuit par la faïence. Des cruches, d’où jaillit une eau limpide, entourèrent le décorum. Sauf que du rond-point en question, il n’en reste que le squelette d’où suinte une eau fétide.
l L’ex-mairie de Tizi-Ouzou, actuellement en réfection, est pour les autochtones l’image d’Epinal. Cet édifice, qui a pris de l’âge, car d’époque coloniale, a failli tomber en ruines. Ce qui aurait été dommageable pour Tizi-Ouzou. C’est, toutes proportions, par ailleurs, gardées, la Tour Eiffel locale. Il est pris en charge pour lui refaire une beauté. Sauf que les mois passent et les Tizi-Ouziens prennent leur mal en patience. Au fait, à quelle destination est-il dévolue ?
l Depuis que les Chinois, attraction vite détournée, ne s’occupent plus de la réfection des trottoirs de la ville, Tizi-Ouzou a repris son air vieillot, vétuste, dos courbé et sale comme pas possible. Il n’y a pas, à mon sens, une seule voie qui ne soit pas déglinguée. Comme si la malédiction n’arrête pas de poursuivre la capitale de la Kabylie.
l Les habitants de Sikh-Ou-Meddour ont bloqué la RN 24 à plusieurs reprises pour faire aboutir leur demande de voir les axes de leur village goudronnés. Demande acceptée par les autorités ! Sauf au moment où l’entreprise allait démarrer les travaux, les villageois se sont rendu compte que le bitumage ne concernait que la route principale. Exit donc les adjacentes ! Les Sikh-Ou-Meddouriens, bien malgré eux, n’ont pas accepté cette farce : ils ont carrément chassé l’entreprise en question.