l Le nouveau centre hospitalier d’Azzeffoun ne tardera pas à ouvrir ses portes après de longues années d’attente qui ont obligé les citoyens de la localité de faire de longues distances pour se faire soigner.
Les responsables de la réalisation de ce projet affirment que le retard est dû à l’état du terrain assez argileux qui présentait dès le départ certaines anomalies liées à sa construction, ce qui a nécessité de petites corrections techniques, avant le lancement des travaux.
Maintenant, l’infrastructure est presque achevée et les travaux de construction, surtout ceux liés au mur de soutènement, qui, selon toujours les responsables, sont terminés. L’ouverture officielle est prévue, nous dit-on, dans les semaines à venir.
l Toujours à Azzeffoun, plus précisément du côté de la sortie est, une bonne partie de la chaussée s’est complètement affaissée après les dernières pluies. Les automobilistes empruntant ce tronçon routier et qui ne connaissent pas la région sont exposés à un danger et risquent de se retrouver en contrebas de la route. Pourtant, plusieurs usagers affirment avoir signalé à maintes reprises cet état de faits sans que les responsables concernés daignent passer à l’action.
Un automobiliste, apparemment, en difficulté, rencontré sur place, souligne que c’est la deuxième fois consécutive, qu’il tombe en panne à cet endroit précis, la panne ayant été causée par la dégradation de ce tronçon de route.
l Après une longue absence, l’eau va commencer à couler de nouveau dans les robinets au village Tarihant dans la commune de Boudjima. C’est ce que les responsables de l’hydraulique ont répondu à une délégation qui s’est rendue sur place pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux. Pour rappel, cette localité située à 7 km du chef-lieu de commune souffre depuis longtemps du manque d’eau, alors que les canalisations passent à quelques centaines de mètres des premières maisons du village.
l Dans le marché des fruits et légumes de la Nouvelle Ville, un égout à ciel ouvert se déverse carrément sur la chaussée et ce, depuis plus d’une semaine.
Tandis que les autorités, mêmes averties prennent tout leur temps pour intervenir, les marchands continuent,◊quant à eux, de vendre leurs marchandises sans se soucier de la santé des citoyens.
Les services de contrôle et d’hygiène de la wilaya brillent par leur absence, et le citoyen, en plus du prix fort qu’il paie pour faire ses emplettes, vu les prix de la mercuriale, il risque de se retrouver à l’hôpital pour une banale fuite d’égout.
l Si les écoles, les lycées et les universités ont commencé à travailler, certains instituts privés et écoles dans la wilaya de Tizi-Ouzou sont encore au stade des inscriptions. C’est ce qui ressort des affiches, portes ouvertes et autres publicités que font ces écoles dont certaines prolongent le début de la scolarité au mois de novembre. L’on s’interroge, dès lors, comment les responsables de ces établissements comptent rattraper presque deux mois de retard accusé depuis la rentrée officielle.
Par : N. H.