l A la fin de l’année scolaire, certaines écoles ne ferment pas leurs portes et deviennent de véritables salles des fêtes pour beaucoup de familles, qui ne trouvent d’ailleurs, aucune difficulté afin d’obtenir les autorisations nécessaires.
Malgré les directives et circulaires émanant de la tutelle, qui interdisent l’utilisation des salles de classe à d’autres fins, que celles prévues par la réglementation, certaines APC, justement, font fi de cette réglementation et continuent d’autoriser les citoyens à organiser des fêtes à l’intérieur de ces établissements.
l En inaugurant la nouvelle gare de Tizi-Ouzou M. Amar Tou, ministre des Transports, n’a pas voulu répondre aux questions des journalistes, pourtant nombreux à venir l’accompagner dans son déplacement. ‘‘J’ai tout dit à … l’ENTV ‘’, une façon de dire contentez-vous de cette information ! Plusieurs fois programmée, puis reportée pour des raisons diverses, ce monument architectural en forme multimodale, sera la principale gare routière et ferroviaire de Tizi-Ouzou.
l Le commissariat du Festival du film amazigh en collaboration avec le festival arabo-africain de danses folkloriques de Tizi-Ouzou, a organisé du 16 au 19 juillet courant une rencontre sous le thème ‘‘ Panorama spécial film amazigh’’. Devant initialement se dérouler au théâtre communal de la ville, c’est finalement la Maison de la culture Mouloud Mammeri qui a abrité cet hommage rendu au cinéma africain. Il est à signaler que la totalité des films projetés, sont réalisés entièrement en Tamazight, dont certains ont été primés au dernier festival du film amazigh de Sidi Bel-Abbès.
l La mendicité a réapparu d’une manière spectaculaire, ces derniers jours dans la ville des Genêts. Il n’y a pas un endroit où on ne trouve pas, des personnes, tout age confondu, tendre leurs mains aux passants, dans l’espoir de récolter quelques dinars.
Le fléau, en effet, n’est pas spécifique à la ville de Tizi-Ouzou, puisqu’il est devenu légion à travers le territoire national.
Ce qui est par contre assez inquiétant, se sont ces enfants et bébés, que certaines prétendus mendiantes, exposent en plein soleil sans se soucier ni de leur sécurité ni de leur santé. Les services publics ne doivent-ils pas intervenir pour atténuer la souffrance de ces innocents ?
l Le ville de Fréha fait partie, nous dit-on, des daïras qui seront promues au rang de wilaya dans le prochain découpement administrative. C’est le souhait de tous les citoyens de la région qui voient, déjà en cette action, une partie de leurs problèmes réglés car ils ne dépondront plus de Tizi-Ouzou. En se rendant sur les lieux, on découvre que la réalité est tout autre et que la ville n’est vraiment pas prête pour cette opération.
Pas d’éclairage public, les constructions élicites débordent sur les trottoirs, tandis que les quartiers nouvellement créés sont dépourvus de toutes commodités et surtout d’assainissement.
Ce qui bidonvillise cette ville, autrefois, très coquette, se sont également ces marchés informels qui poussent comme des champignons et qui, chaque soir, en partant, laissent derrière eux un spectacle désolant. Des causes principales, selon plusieurs témoignages, est le manque flagrant de plaques de signalisation sur ce tronçon qui demeure également très fréquenté par les piétons.