Les citoyens de kherrata, à l’extrême Est de la wilaya, se sont révoltés sous l’égide du collectif de 13 associations des villages de Djermouna, pour dénoncer l’existence de deux carrières dans leur localité.

Quelle mouche a piqué la population de Bejaia se levant, à chaque fois, contre des projets de plantation des carrières d’agrégats à travers différentes communes ? Les citoyens de kherrata, à l’extrême Est de la wilaya, se sont révolté sous l’égide du collectif de 13 associations des villages de Djermouna, pour dénoncer l’existence de deux carrière dans de leur localité. Dans une déclaration parvenue à notre rédaction, et dont des copies on été adressées aux autorité locales et haut responsables dont les ministère des mines et de l’environnement, les contestataires mettent en exergue les effets néfastes qu’encourent cette carrière sur la santé des habitants et de la flore et la faune. Ils mettent également l’accent sur le risque omniprésent nuire à la nappe phréatique des sources d’eau provenant des monts de cette commune. « Nous avons exigé le bitumage des routes menant aux chantiers pour atténuer l’émanation de la de la poussière, sans pour autant recevoir d’échos à l’heure», déclare le président du collectif des associations de Djermouna. A Melbou, un promoteur, voulant implanter une carriere dans la région, à été luis aussi repoussé par la population, avant d’être repoussé encore une autre de ZOUBAI à Boukhelifa. Pourtant, rappel-t-on, le promoteur à été titulaire d’un titre de minier et l’étude d’impacte sur le lieu et de faisabilité a été approuvée par les autorités locales. Les citoyens opposaient le projets pour protéger l’environnement et la santé publique, sachant que la carrière était à proximité des habitations. Méme san de clauche cher habitants d’Alliouene, une agglomération perchée sur la ville d’Aokas, où, après un long feuilleton de contestations avec le promoteur, ils ont procédé à brûler la carrière d’Agni, y existantes pourtant de puis plus de 30 ans. Les élus locaux agissent à chaque fois sur des études effectuées par leurs services et soutiennent que les carrières soient d’une importance économique capitales dans la région. En outre du fait que cette matière est très demandée dans les travaux publics et le bâtiment, les carrières sont génératrices des poste d’emplois dans la région hanté par le spectre du chômage.