Dans un contexte mondial où la tendance au protectionnisme, justifié par le patriotisme économique, revient en force, l’Algérie poursuit son petit bonhomme de chemin vers l’ouverture à la production étrangère qui risque de concurrencer sérieusement le «made in Algeria» sur son propre marché. Dernier jalon en date dans cette voie : l’adhésion en janvier 2009 à la Zone arabe de libre échange (ZALE).
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